• lettre à mr Covid 19

                          BRAVO Mme COVID 19 !!

                                    

                                           Vous si petite, infiniment petite, avez mis le monde en vrac.....

    Comment, élément invisible, avez vous réussi à tout bouleverser ?? Pierre, Paul, Jean, la France, l'Europe, le Monde entier dépend de vous  en si peu de temps .Vous qu'on ne voit pas, que l'on ne connait pas ! Parti de Chine, vous avez fait votre chemin, sans rencontrer d'ennemis véritables. Et vous voilà installé, mais pour combien de temps ?

                                              Alors la France, l'Europe, le Monde, réagissent ou essayent :

     

                                                                C.O.N.F.I.N.E.M.E.N.T.

     

                                                15 mars ! Le Monde s'arrête (ou presque) : Télé travail : ça c'est une bonne idée ! et il a fallu attendre votre venue, Mme Covid 19,  pour y penser, en tout cas pour l'activer. Donc moins de monde sur les routes, les parents sont plus près de leurs enfants, les familles se rapprochent ( ou se déchirent ... ), grâce à vous, Mme Covid 19, moins de pollution!!!! lettre à mr Covid 19

                                                  Au bout de quelques jours, la nature a repris ses droits : moins de circulation, moins de gros travaux,  moins de personnes qui se promènent,  stop !!  Mais la vie, la vraie vie, la nature se réveille ! On a plus de came, et l on entend le gazouillis des oiseaux , le ciel est plus bleu. C est la saison des amours et les animaux sont heureux, pas gênes par l'être humain, donc, davantage de naissances.  Chevreuils, sangliers, renards, etc ....s'approchent des villes, se promènent dans les rues. Mère Nature revit ! Et grâce à vous, Mme Covid 19 ... Ca, c est le petit côté positif....

                                                    Mais le négatif est plus fort .Comment un être invisible, peut faire autant de mal ? Il se dit que les produits venant de Chine ne sont pas fiables et sont souvent de mauvaises qualités !! ( on dit ) , Mais , vous, Mme Covid 19 , BRAVO  : des gens meurent à cause de VOUS ! Au début , on n y a pas vraiment cru.  Alors, masque ou pas masque ? En tout cas, pas assez pour le personnel soignant, ni pour tous ceux qui sont confrontés de loin ou de près à cette maladie.

                                                        Alors les petites mains bougent . Elles fabriquent et distribuent des masques ( gratuits ). Le voisin s'inquiète de savoir si la mamie du troisième étage a besoin de quelque chose... Voilà que l'homme redevient humain !!lettre à mr Covid 19

                                                          Mme Covid 19, venant de Chine, vous avez réveillé  les français, l'Europe, le Monde : tous unis pour se battre contre vous l infini petit ! On y arrivera ! On va vous maîtriser, mais surement pas vous tuer ! dommage ! 

                                                           Conclusion ?  La nature a repris vie, le peuple s'entraide, ce qu'il avait oublié depuis longtemps! Mais le plus dur c'est tous ces morts que vous laissez derrière vous, Mme Covid 19

    Ce qui me réconforte, c'est de savoir que le peuple s'est uni du simple ouvrier au personnel soignant ! Bravo à tous.  Et pour l'économie du pays, on verra ! il se relèvera, il ne faut pas s'en faire, même si on doit "le payer" un jour. 

                                                               Mme Covid 19, le 11 mai, nous allons reprendre un peu de liberté.

                                                                                                                                                                                                                                  D.E.C.O.N.F.I.N.E.S

     

                                                                   Si le peuple est sage, , il va doucement reprendre ses habitudes,   si vous êtes le plus fort, on va se 

     

                                                                             R.E.C.O.N.F.I.N.E.R.  

     

    Lettre à Mr Covid 19

     

    Lettre à Mme Covid version petite Jeanne

    Confinement

    Confinés aux confins  de nos maisons : con et faim à la fois ?

    A oui !, on se régale…  On a le droit d’acheter l’alimentaire et de faire la cuisine. Alors on ne s’en prive pas.  L’ennui c’est qu’après nos gargantuesques  repas, nous restons toujours aussi cons. Et même certains sont assez cons pour manger du Pangolin et des chauves-souris.  Sauve qui peut !!!

    Confi... de canard oui, ça me parle bien pour ma petite faim sans fin.  Et si on faisait confire Mme Covid dans de la graisse d’oie ?

    Mais attention : ne pas glisser sur le savon en allant mettre le masque dans le lave-linge. 

    Après un programme à 60°et 60 litre d’eau gaspillée (c’est bon pour la planète), vous pouvez le sécher avec votre sèche-cheveu si vous en avez un. Si vous n’en avez pas, pour pouvez aller sonner chez la voisine mais sans le masque puisqu’il est mouillé, profitez-en pour lui faire la bise si Mr n’est pas là.

    L’oisiveté est un aphrodisiaque purement naturel. Votre libido connait-elle le confinement ?, je ne m’étendrais pas plus sur le sujet. Pas le droit de sortir et pas le droit de baiser : elle est trop forte ce Mme Covid !

    C’est vrai ça, de quoi elle se pleins cette fichue planète, on a assez de soucis avec notre nouvelle ami Mme Covid.,  elle peut crever cette conne de planète qui se désespère tout le temps !!! … A oui mais merde !, je suis en train de scier la branche sur laquelle je suis assise.

    Les idées ne manquent pas !, nous sommes français que diable !

    J’en un connais qui, pour tuer le temps,  tond sa pelouse aux ciseaux ou qui fait du sport en buvant des boissons jaunes (je ne citerais pas le nom).

    Pour tuer le temps (après digestion) on peut tabasser notre entourage.

    Je citerais un proverbe arabe : bat ta femme, si tu ne sais pas pourquoi, elle le sait.

    Quand j’étais gamine ma mère me disait : si tu t’ennuies, racle-toi l’os de la jambe…

    Bon, je ne suis jamais allée jusqu’à là,  ni à me jeter la tête contre les murs, j’ai peur de salir mon papier peint. 

    Je continue de faire des photos, certaines d’actualité.

    Et l’après ? Car il y aura un après parait-il ! Quand tout sera rentré dans l’ordre (enfin un certain ordre), je ne donne pas un an pour que l’homme (enfin l’humanité) ne nous montre à nouveau sa vraie personnalité et ses espérances c’est-à-dire sa folie : Profit, profit, profit… : les gros mangeront toujours les petits. Sur ce sujet, j’ai beaucoup de mal à y trouver de l’humour. Quoique ! On peut rire de tout même de sa misère.

     Bon sans rire, sortez couvert, enfin je veux dire sortez masqués.

    lettre à mr Covid 19

     

     

     


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  • Les marmottes des PessonsJe vais vous raconter les marmottes à ma façon.

    Depuis longtemps, je rêve de voir des marmottes de près.

    J’en ai en peluche, offerte par Petite Jeanne et des amis, des cartes postales, des tas de «grigri», poster, set de table, pendule, thermomètre, canevas…etc.

    Et bien sûr, je connais celle qui plie le chocolat dans le papier d’alu ! J’en ai même une qui chante, une qui siffle, en fait, j’en ai trois qui me suivent dans ma voiture.

    Mais voilà, elles ne sont pas en chair et en os !

    Il faut que je vous dise, qu’ici, j’ai des amis (es), dont une qui tient un hôtel-restaurant bar (où j’allais quelques fois en vacances) Je m’y rends presque tous les jours, et, parfois, je fais des connaissances intéressantes.

    C’est là que j’ai eu la chance de discuter avec le garde forestier qui venait boire son café. Vous me connaissez tous ! Je n’ai pas la langue dans ma poche ! (Ici les femmes peuvent prendre une boisson avec un homme, il n’y a aucune mauvaise pensée !)

    Les marmottes des PessonsDonc, de fil en aiguille, je lui ai posé la question qui me tenait à cœur, à savoir :

    « - où je pourrais photographier des marmottes ?

     - aux Pessons me répond-t-il. La première descente de ski, sur la droite, avant le premier lac.

      - Merci, merci beaucoup ». Les marmottes des Pessons

     Je savais bien qu’il y en avait pour les avoir entendues lors de nos randos avec les enfants, mais elles étaient bien plus hautes dans la montagne, autour du deuxième lac ? (il y a 7 lacs et pleins de lacquets dans ce coin).

    Après le baptême de mon dernier petit fils, Mathis, Cyril me suit pour passer un mois de vacances et surtout pour faire des randos et aussi pour voir les fameuses marmottes.

    Mon seul jour de repos est le lundi (ici, pas de dimanche) et (pas de 35h). Je prépare mon sac à dos et nous partons vers les 7 h du matin. Trois quarts d’heure plus tard, nous arrivons sur la place où nous pouvons nous garer. Nous nous préparons pour la montée. Déjà ! … Nous entendons des sifflements et ma poitrine se serre : je suis contente, elles sont là ! … pas trop loin !

    Les marmottes des PessonsPrince, mon chien, nous accompagne. Il est très curieux et s’amuse à courir après les nombreux oiseaux qui se posent et repartent aussitôt. Nous prenons enfin le chemin Cyril prend les jumelles et l’appareil photo, en avant. Tout d’un coup, il me fait un grand signe, me dit de ne plus parler ni marcher. Je stoppe, j’attache Prince à sa laisse et j’attends. Il m’indique, qu’il y a là, derrière le grillage, pas très loin, des marmottes ! Il se tortille dans tous les sens pour ne pas prendre le grillage en photo, mais ce n’est pas évident. Il ne savait pas si nous aurions la chance d’en voir d’autres plus loin. Les marmottes des PessonsJe m’approche doucement : oui, elles sont là qui gambadent, toutes mignonnes et très attachantes. Elles font sans arrêts des mouvements de tête comme pour tout voir et partout, tout le temps. A côté, il y a les jeunes de l’année qui jouent à «chat perché». Nous continuons de monter, car nous ne sommes pas encore arrivés à l’endroit prévu. Et, là, c’est le bonheur ! Elles sont là, nombreuses; mon cœur tape très fort, j’ai envie de rire et de pleurer tout à la fois. Je les trouve tellement belles et paraissent tellement gentilles que j’en voudrais, bien une à la maison. Nous allons faire des photos, pleins de photos.

    Elles nous aperçoivent et rentrent dans leur terrier de secours, (elles en ont plusieurs en cas d’urgence). Et presque aussitôt, elles montrent peu à peu leur petit museau et nous voyons leurs petites dents blanches (des incisives). Elles reprennent confiance, mais pendant leur absence nous avons approchés doucement, je reste un peu en arrière, car Prince tire très fort sur sa laisse : il veut aller courir avec les marmottes !  

    Les marmottes des PessonsCyril s’approche environ à 2 où 3 mètres. Elles sont là debout sur leur queue et nous regardent. Elles guettent tous nos mouvements, mais ne se cachent plus. Quelques-unes mangent de l’herbe recouverte de rosée tout en continuant de bouger la tête dans tous les sens, toujours sur leur garde. Les petits repartent jouer à leur jeu préféré. Nous ne sommes sans doute plus pour elles des ennemis, elles nous font confiance car la vie continue. Cyril fait beaucoup de photos et cherche à faire la course à la plus belle. Elles sont marrantes et je m’aperçois qu’elles ne sont pas exactement de la même couleur. Il y en a une presque blanche, très grosse qui se cache dans les éboulis et qui ne veut pas poser pour nous, tant pis ce sera pour une autre fois ! D’autres posent carrément.

      Les marmottes des Pessons

    Une autre journée chez mes amies les marmottes : 

    Par un beau ciel bleu, je suis partie aux Pessons voir mes amies et surtout leurs bébés.

    La route est longue, environ trois quart d’heure. Mais le soleil est de la partie aujourd’hui, car hier et avant-hier il neigeotait. Les arbres sont bien verts et l’herbe a poussé généreusement pendant mon absence. Mais c’est si joli de voir la neige qui saupoudre les sommets. Je me gare sur cet immense parking du ‘‘ grau del roig ’’ où il n’y a personne. Ce n’est pas encore la saison et les estivants ne vont pas déranger mes amies.

    Sac à dos, bâton, jumelles, appareil photo, téléphone et quelques pommes, me voilà prête pour l’ascension de cette pente raide et ridicule, mais assez longue. Elle n’apporte aucun intérêt pour une rando, c’est un chemin à peine carrossable pour les 4×4 et le bus, qui est équipé 4x4lui aussi.

    Enfin, j’arrive au croisement et je prends à droite, là où se trouvent mes marmottes. Les marmottes des Pessons 

    Je commence par poser délicatement mes pieds sur l’herbe quand il y en a. Je m’approche du but et sors mon appareil photo et mes jumelles et pose mon bâton. Et ….. il y en a plein partout qui courent comme des folles. J’assiste à la bagarre (les photos sont loupées, j’y reviendrais vendredi si je peux).

    Elles jouent sans arrêt tandis que leurs parents sont étalés paresseusement. A peine si je les dérange. Je peux m’approcher jusqu’à 3 mètres. Je prends plaisirs à les filmer et les photographier. Parfois elles sortent de leur trou et me regardent curieusement, mais peu à peu elles reviennent et allongent leur corps et avance leur pattes et sortent enfin.

    Je me suis bien régalée. IL est 11h30, il fait chaud et elles sont de nouveau chez elles.

    Alors, je repars et y reviendrais très vite.

     

    Les marmottes des Pessons


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  • Lionel et moi nous levons à 6h30 . Nous partons à 7h45 pour Ransol. Nous quittons la route principale et nous voilà sur la petite route qui nous mène à la rando.  Le décor est déjà superbe. Là , se trouve une petite place terminus, où nous pouvons garer la voiture. Nous enfilons nos chaussures , et nos sacs à dos.; quelques voitures arrivent timidement . Les vacances d"été sont presque là. l es estivants randonneurs pointent leurs nez. Derriere  nous un torrent coule avec force. La neige n’a pas encore fini de fondre sur les hauteurs .Tout près de là, si vous passez sur le petit pont de pierre, vous pourrez voir des tables et des bancs en ciment qui vous attendent pour un reposant "pique-nique". Coll de la mina. Ransol, Andorre
    le bàton en main , nous voilà fin prêt pour l’ascension.
    Le petit sentier qui nous conduit au coll est agréable. Il monte, mais pas trop. Il suit le torrent qui gronde grace à ses nombreuses cascades. Le long du petit chemin , partout des fleurs. Il y en a partout de tout es les couleurs , de toutes sortes. Les rhododendrons commencent à fleurir et donnent une joli note de couleur. La rando est paisible , c’est un bien joli paysage.
    Un peu plus haut, elle devient un peu rocailleuse et ferrugineuse. Les fleurs et plantes se font peu à peu plus rares. Partout çà et là , on peut rencontrer des petits lacs. J’en ai vu de plus beaux, mais je suis toujours contente  d’en rencontrer. C’est fascinant de voir, au détour d’une petite bossse o u dans un petit creux,  ces lacquets.
     
     Enfin, nous arrivons au lac principal et nous  nous posons un peu . Le soleil est là, mais il y a un petit vent très frais. Lionel décide de se reposer. Je décide de continuer un peu plus . Là  çà commence à monter vraiment et la roche est de plus en plus friable. Les pas se font de plus en plus petits car il y a rique de glissade: heureusement , j’ai deux bâtons de marche. J’arrive difficilement à grimper jusqu’au bout. D’un côté se trouve la vallée de Sorteny et de l’autre celle que l’on vient de grimper.
    C’est sublime!! Je peux voir tout les lacquets que nous avons rencontrés et le paysage est grandiose. Mais , il faut rentrer. Je rejoinds Lionel et prenons notre en cas de midi.. Tranquillement, nous prenons le chemin du retour, il le faut bien, hélas! Les nuages commencent à devenir de plus en plus nombreux, mais il ne pleuvra pas. Coll de la mina. Ransol, Andorre
     
    Encore une rando de plus  que j’ai fais dans Mes Montagnes. Je suis toujours aussi ravie. Dômmage, nous n’avons pas rencontré de marmottes, nous les avons juste entendues siffler. A 16h nous somms rentrés.

     


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  • Est-ce un rêve?
    Je vais me réveiller sûrement!
     Mais non, je ne rêve pas! Prince est là qui me lèche les pieds.
    Je pense seulement………. Mais où suis-je?
    Je suis là, sur un rocher, assise au milieu de la montagne, Ma Montagne….Ma Montagne? oui, Ma Montagne, dans Mon Pays d’adoption.Pays que j’aime pardessus tout: il est si beau!
    Je regarde autour de moi, partout des montagnes. Il est tard, le soleil se couche à l’horizon, sur La Massana. Au dessus des montagnes, une auréole orangée châpeaute le paysage comme sur une carte postale. Peu à peu , il s’en va et laisse place à une couleur orange en dégradée qui va disparaître aussi pour faire place à la nuit.
     
    J’entends , au loin, les voitures et , ici, tout  près, les oiseaux qui gasouillent et s’agittent après la chaleur du jour . J’entends aussi, et , oh, quelle joie, les marmottes qui sifflent. Il y en a partout, et, du matin au soir, même de mon appartement , je peux les entendre.
    Un vent lèger souffle qui ondoie les herbes folles . Tout autour de moi, je peux voir et sentir les sapins symbôles  de la montagne.
    Comment fait-il pour vivre celui-là , dans trois cm de terre , sur un rocher?
    IL  est là, tortu,  accroché par ses racines qui ressemblent à des serres d’aigles, sur ce caillou, fier de son exploit. Le vent peux souffler, il tiendra bon  .Je   peux sentir l’odeur du buis qui me rappelle mes premières années à Encamp, au printemps,  quand on montait au lac d’Engolaster.
    ……..J’écoute…….Tout est si calme et bruyant à la fois!
    Mais où suis-je?
    J’aperçois l’étoile du berger, les autres ne vont pas tarder. La nuit tombe doucement. Prince me regarde et me dit: " on rentre pas?", "non", on rentre pas, on reste, c’est si beau, c’est magique." Je n’arrive pas à détacher mon regard, tout me plait. Et tout les jours en allant travailler, je regarde et je vois pour la première fois ce paysage, parfois plein de neige , parfois tout vert. Tout les jours, je regarde comme si je n’avais jamais vu.  Tout les jours ,je suis toujours aussi émerveillée. . Toujours et tout les jours est plus belle Ma Montagne. La nuit est tombée maintenant. Les étoiles scintillent comme pour me faire un clin d’oeil joyeux et complice. Elles savent , elles ,que je suis heureuse, assise, là, sur ce rocher, à penser…..
    Montagnes Andorranes je vous aime.
     
    Mais où suis-je?
     
     

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  • Cet été, j’ai eu le plaisir de recevoir une petite partie de ma famille. En effet, Bastien, Valérie, Lucie et Louis sont venus passer quelques jours en Andorre. Je travaille de 5h/2à 10h du mat. J’avais donc du temps à leur consacrer. Le premier jour, ils sont partis faire des courses et se promener tout seul. ils en ont profité pour acheter un chaise spéciale pour porter Louis sur le dos. J’ai cherché une rando facile et j’ai trouvé le val de Sorteny. C’est un parc naturel cree le 15 juin 1999 par ordre communal.Il offre un intérêt scientiphique, botanique,éducatif et offre surtout un joli paysage. Il sert á la preservation de la biodiversité, nous pouvons y rencontrer plus de 700  espèces de plantes et une faune variée, sur une superficie de 1080ha. Sur notre parcours, nous avons visité le jardin botanique. Je l ‘ai trouvé très bien  .                      

     Nous sommes partis  l’après midi  . La vallée se situe entre El Serrat et Arcalis, pas très loin de chez moi.  Bien sûr , il y a beaucoup de monde ainsi qu’un bus espagnol. Quand nous sortons de la voiture, un vent glacial nous surprend. Valérie et les enfants mettent un gilet. Nous passons la petite porte en bois et nous voilà partis pour la grande aventure. Bastien doit faire quelques réglages pour installer au mieux la chaise et Louis. Enfin, nous reprenons le chemin. Il y a deux possibilités: choisir le sentier ou le sentier empierré qui sert aux voitures tout terrain  pour le personel autorisé. Nous obtons pour ce dernier pour faute de temps et aussi pour la facilité.

    De temps en temps ,nous rentrons sur une partie du sentier pour faire des photos et voir le paysage. Lucie a l’air de se plaire et n’est  pas fatiguée dit-elle. Le chemin est entre coupé par le sentier, ou le contraire, grâce aux virages et ainsi nous pouvons profiter de cette beauté. Partout des fleurs et des papillons. Il y en a que j'ai jamais vu et Valérie se met à la chasse aux papillons pour faire des photos. Notre bouchon a faim et nous faisons une halte. J'en profite pour explorer un peu plus les environs et je fais quelques photos. Enfin, nous arrivons au refuge. Nous faisons une grande pose. Je visite le refuge qui est occupé par de nombreux randonneurs qui ont dormis ici.  On peut , à partir du refuge, faire plusieurs randos balisées. Il y a une fontaine avec de leau bien fraîche qui est la bienvenue. Il est temps de rebrousser chemin et en descendant, de temps en temps, nous empruntons le sentier qui est facile d’accés et bien aménagé. Les escaliers sont bien faits, encailloux et rondins de bois. Il y a par endroit des rembardes de bois. Et nous faisons les dernières photos.

    C’était une promenade bien agréable et j’etais très contente que Lucie aime la ballade. voici quelques photos.  


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  • estany Esbalçat

                    Il est 9h30, je rentre du travail. Il fait beau et je décide de partir en ballade.Je prépare mon sac à dos avec, eau , nourriture , une petite bouteille pour prince qui frétille déjà d’impatience (il connait le sac). Je n’oublie pas le k.way, la casquette, le bâton, l’appareil photo (indispensable) et le"mobile" en cas d’urgence. Prince saute dans la voiture et nous nous dirigeons vres Arcalis ,direction el Serrat au lieu dit : el pont del Castillar. il y a de la place pour se garer et de nombreuses voitures sont déjà là, Belgique, Espagne, France et Andorre. Je me sents bien dans cet endroit où seuls les bruits des cloches tintinambullent dans le silence. J’en ai compté 120, mais il y en a bien plus éparpillées dans  la  montagne  ………   . 
     Je lis le panneau d’information et je décide de prendre le plus petit parcourt car il est tard. J’entends l’eau du torrent qui  dévale bruyamment la montagne. C’est la fin de la fonte des neiges. Il court vite pour aller je ne sais où, mais il y va joyeusement. Partout des plantes grasses fleuries et des tas de petites fleurs blanches minuscules. Peu à peu les arbres deviennent de plus en plus nombreux. Il y fait bon.
    Tout en montant tranquillement que vais-je  au milieu du chemin? un cêpe!:Je pose mon sac et je cherche un peu., J ‘en trouve un second, un troisième, six en tout, quelques uns , bien vieux. Je reprends mon ascension tout en jetant un œil sur le côté, au cas où. Enfin, voilà le premier "ciel".Au total j’ai du en passer une dizaine. On croit toujours arriver, mais non , c’est une fausse alerte et nous voilà repartis pour un autre "ciel"  A chaque fois je fais une photo; Mais rien ne peut décrire si bien ce que je vois , seuls mes yeux et mon cerveau enregistrent bien les images, mémoriser cette immense beauté…  . . ..
    Je m ‘assoie et regarde autour de moi. Que de temps perdus….J’ái commencé à faire des randonnées trop tard. …….J’arrive à l’embranchement d’autres randonnées, biens trop longues pour moi, aujourd'hui.  Je prends donc celle qui va au lac. Je suis sur une petite plaine où se rencontrent pleins de petits ruisseaux, Il y en a un qui sort de la terre. Le chemin est très caillouteux, genre éboulis,
    mais peu à peu c’est un sentier de terre de bruyère où il fait bon marcher.  
    Enfin le dernier "ciel "pour moi. Il y en a d’   autres pour aller jusqu'au col d’Esbasçat qui rejoint l'Ariège .Je commence à avoir faim. Tout à coup, loin et très haut, j’aperçois un oiseau  . Le voilà qui plonge droit au sol comme une pierre, il remonte et fait du surplace. Je ne sais pas si c’est un aigle ou un milan en tout cas il est gros. Les arbres ont laissés la place aux prés avec de nouvelles fleurs et le chant des oiseaux m accompagne. J’approche du lac.  Un peu en contre bas, le lac! 2500m d ‘altitude, avec un peu de neige sur le côté.
    Cette année ,il est resté plus de neige que d’habitude. Je me déchausse (enfin)!, me mets en maillot de bain et les seins à l’air je  trempe mes pieds dans l’eau. J’avais très chaud. J e casse la croûte sans oublier Prince. Il a soif et boit à la bouteille que je lui réserve.  Il est 14h30…………15h15, il est temps de repartir. Je continue le sentier balisé qui conduit en bas, sans passer au même endroit ; en fait je fais un tour. IL y a plein de marécages, mais le sentier est beaucoup plus facile   que de faire un retour par  celui dont je suis arrivé  , mais beaucoup plus long. De plus il est mal balisé, mais Prince m’indique  la marche à suivre comme s’íl connaissait l’endroit. Il doit renifler l’odeur des randonneurs qui sont passés par là, je me serais bien , peut -être bien égarée. Il est 17h30 quand je monte dans la voiture : Ouf, je suis bien fatiguée, mais je dois aller prendre une douche  rapide, car je dois me trouver à 19h à Encamp pour rejoindre mon ami:
    C’était, une fois de plus une jolie balade. Certes je suis lasse quand je rentre  , mais je suis toujours partante pour une autre rando la prochaine fois……..voici quelques photos. je ne maîtrise pas bien encore la marche à suivre, mais je vais essayer.
     
      

     


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  •           Il est 7 heures du matin. Je suis dans la voiture et me dirige vers les Pessons, pour voir mes amis les marmottes. 8h moins dix, je suis sur le parking où stationnent déjà quelques camping cars et voitures. Je prends mon sac à dos et mon bâton et me voilà sur la piste de ski pour env 3/4 d’h. Sur l’ultime chemin, je marche sur l’herbe et évite de faire du bruit.

    Elles sont là, qui mangent de l´herbe. Je pose sac et bâtons, sort mon appareil photo et mon sodoku. Timidement je m’avance le plus près possible et je m’assois. Je fais quelques grilles pour qu’elles prennent confiance et tente quelques photos. Je voudrais bien en faire avec les marmottons, mais,  le seul que je vois, ne sort pas de son trou durant les 2 heures que je le  guette. Tant pis ce sera pour une autre fois. Je reprends mon sac et me dirige directement au second lac, en passant par un raccourci qui évite le premier. C’est toujours aussi beau et je décide de faire tous les lacs car je ne les connais pas. Ensuite il y a le col à faire et l’on peut continuer davantage si l’on veut, car, ce circuit est le GR7. J’arrête au dernier lac qui est double. Il est 14h. Je pose mon bardas, quitte chaussures et chaussettes, et mets les pieds dans l’eau. Je casse la croûte avec  plaisir. 

    Cette journée est la plus chaude du mois, et même les jeunes  gens nagent dans le lac. Je me pose 1 h et repars pour la descente. Ce fut une belle journée, un peu épuisante pour mes rotules, mais, la joie d’avoir fait cette rando, le vaut bien.

                          

     


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  • Nous sommes fin juillet et c’est avec une joie immense que je reçois mon petit monde. Après  un bon repas et une nuit de sommeil un peu courte, vers 10h du matin, nous partons faire une randonnée au lac d’Esbalçat. Ce chemin je le connais bien, car la première partie j’y recherche des champignons. De plus , j’ai déjà fait ce circuit l’année dernière à la fin juin.

    Lucie aime bien marcher dans la montagne et va bon train. Le papa avec  mon petit fils sur le dos a aussi une bonne cadence. Valérie, ma fille, reste un peu en retrait, entre eux et moi. Elle s’inquiète souvent dema santé et m’attend un peu. Seule je mets 4h pour monter , avec eux , j’ai mis 3h .C’est une cadence un peu trop pour moi, mais j’ai fait des efforts, car sans moi, en moins de 2 heures ils seraient parvenus au lac.

    Les efforts sont toujours récompensés quand on découvre le paysage. Je suis tout le temps émerveillée par la beauté de la nature. Nous quittons les chaussures et chaussettes pour se rafraîchir  les pieds.  Loulou a faim et nous nous installons pour manger. Au fond, de l’autre côté des jeunes font un bruit d’enfer et plonge nt dans le lac pourtant bien froid.

    Nous reprenons la balade en suivant un chemin  qui nous permet de faire un tour complet. La descente est dure et je suis assez fatiguée. Valérie et moi décidons d’écourter le chemin en traversant le torrent sur des rochers et mon gendre continue sa route jusqu’à la voiture. Nous l’attendons après le tunnel d’Arcalis et entrons fatigués mais contents .                 

     


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