• Les marmottes des PessonsJe vais vous raconter les marmottes à ma façon.

    Depuis longtemps, je rêve de voir des marmottes de près.

    J’en ai en peluche, offerte par Petite Jeanne et des amis, des cartes postales, des tas de «grigri», poster, set de table, pendule, thermomètre, canevas…etc.

    Et bien sûr, je connais celle qui plie le chocolat dans le papier d’alu ! J’en ai même une qui chante, une qui siffle, en fait, j’en ai trois qui me suivent dans ma voiture.

    Mais voilà, elles ne sont pas en chair et en os !

    Il faut que je vous dise, qu’ici, j’ai des amis (es), dont une qui tient un hôtel-restaurant bar (où j’allais quelques fois en vacances) Je m’y rends presque tous les jours, et, parfois, je fais des connaissances intéressantes.

    C’est là que j’ai eu la chance de discuter avec le garde forestier qui venait boire son café. Vous me connaissez tous ! Je n’ai pas la langue dans ma poche ! (Ici les femmes peuvent prendre une boisson avec un homme, il n’y a aucune mauvaise pensée !)

    Les marmottes des PessonsDonc, de fil en aiguille, je lui ai posé la question qui me tenait à cœur, à savoir :

    « - où je pourrais photographier des marmottes ?

     - aux Pessons me répond-t-il. La première descente de ski, sur la droite, avant le premier lac.

      - Merci, merci beaucoup ». Les marmottes des Pessons

     Je savais bien qu’il y en avait pour les avoir entendues lors de nos randos avec les enfants, mais elles étaient bien plus hautes dans la montagne, autour du deuxième lac ? (il y a 7 lacs et pleins de lacquets dans ce coin).

    Après le baptême de mon dernier petit fils, Mathis, Cyril me suit pour passer un mois de vacances et surtout pour faire des randos et aussi pour voir les fameuses marmottes.

    Mon seul jour de repos est le lundi (ici, pas de dimanche) et (pas de 35h). Je prépare mon sac à dos et nous partons vers les 7 h du matin. Trois quarts d’heure plus tard, nous arrivons sur la place où nous pouvons nous garer. Nous nous préparons pour la montée. Déjà ! … Nous entendons des sifflements et ma poitrine se serre : je suis contente, elles sont là ! … pas trop loin !

    Les marmottes des PessonsPrince, mon chien, nous accompagne. Il est très curieux et s’amuse à courir après les nombreux oiseaux qui se posent et repartent aussitôt. Nous prenons enfin le chemin Cyril prend les jumelles et l’appareil photo, en avant. Tout d’un coup, il me fait un grand signe, me dit de ne plus parler ni marcher. Je stoppe, j’attache Prince à sa laisse et j’attends. Il m’indique, qu’il y a là, derrière le grillage, pas très loin, des marmottes ! Il se tortille dans tous les sens pour ne pas prendre le grillage en photo, mais ce n’est pas évident. Il ne savait pas si nous aurions la chance d’en voir d’autres plus loin. Les marmottes des PessonsJe m’approche doucement : oui, elles sont là qui gambadent, toutes mignonnes et très attachantes. Elles font sans arrêts des mouvements de tête comme pour tout voir et partout, tout le temps. A côté, il y a les jeunes de l’année qui jouent à «chat perché». Nous continuons de monter, car nous ne sommes pas encore arrivés à l’endroit prévu. Et, là, c’est le bonheur ! Elles sont là, nombreuses; mon cœur tape très fort, j’ai envie de rire et de pleurer tout à la fois. Je les trouve tellement belles et paraissent tellement gentilles que j’en voudrais, bien une à la maison. Nous allons faire des photos, pleins de photos.

    Elles nous aperçoivent et rentrent dans leur terrier de secours, (elles en ont plusieurs en cas d’urgence). Et presque aussitôt, elles montrent peu à peu leur petit museau et nous voyons leurs petites dents blanches (des incisives). Elles reprennent confiance, mais pendant leur absence nous avons approchés doucement, je reste un peu en arrière, car Prince tire très fort sur sa laisse : il veut aller courir avec les marmottes !  

    Les marmottes des PessonsCyril s’approche environ à 2 où 3 mètres. Elles sont là debout sur leur queue et nous regardent. Elles guettent tous nos mouvements, mais ne se cachent plus. Quelques-unes mangent de l’herbe recouverte de rosée tout en continuant de bouger la tête dans tous les sens, toujours sur leur garde. Les petits repartent jouer à leur jeu préféré. Nous ne sommes sans doute plus pour elles des ennemis, elles nous font confiance car la vie continue. Cyril fait beaucoup de photos et cherche à faire la course à la plus belle. Elles sont marrantes et je m’aperçois qu’elles ne sont pas exactement de la même couleur. Il y en a une presque blanche, très grosse qui se cache dans les éboulis et qui ne veut pas poser pour nous, tant pis ce sera pour une autre fois ! D’autres posent carrément.

      Les marmottes des Pessons

    Une autre journée chez mes amies les marmottes : 

    Par un beau ciel bleu, je suis partie aux Pessons voir mes amies et surtout leurs bébés.

    La route est longue, environ trois quart d’heure. Mais le soleil est de la partie aujourd’hui, car hier et avant-hier il neigeotait. Les arbres sont bien verts et l’herbe a poussé généreusement pendant mon absence. Mais c’est si joli de voir la neige qui saupoudre les sommets. Je me gare sur cet immense parking du ‘‘ grau del roig ’’ où il n’y a personne. Ce n’est pas encore la saison et les estivants ne vont pas déranger mes amies.

    Sac à dos, bâton, jumelles, appareil photo, téléphone et quelques pommes, me voilà prête pour l’ascension de cette pente raide et ridicule, mais assez longue. Elle n’apporte aucun intérêt pour une rando, c’est un chemin à peine carrossable pour les 4×4 et le bus, qui est équipé 4x4lui aussi.

    Enfin, j’arrive au croisement et je prends à droite, là où se trouvent mes marmottes. Les marmottes des Pessons 

    Je commence par poser délicatement mes pieds sur l’herbe quand il y en a. Je m’approche du but et sors mon appareil photo et mes jumelles et pose mon bâton. Et ….. il y en a plein partout qui courent comme des folles. J’assiste à la bagarre (les photos sont loupées, j’y reviendrais vendredi si je peux).

    Elles jouent sans arrêt tandis que leurs parents sont étalés paresseusement. A peine si je les dérange. Je peux m’approcher jusqu’à 3 mètres. Je prends plaisirs à les filmer et les photographier. Parfois elles sortent de leur trou et me regardent curieusement, mais peu à peu elles reviennent et allongent leur corps et avance leur pattes et sortent enfin.

    Je me suis bien régalée. IL est 11h30, il fait chaud et elles sont de nouveau chez elles.

    Alors, je repars et y reviendrais très vite.

     

    Les marmottes des Pessons


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  • Lionel et moi nous levons à 6h30 . Nous partons à 7h45 pour Ransol. Nous quittons la route principale et nous voilà sur la petite route qui nous mène à la rando.  Le décor est déjà superbe. Là , se trouve une petite place terminus, où nous pouvons garer la voiture. Nous enfilons nos chaussures , et nos sacs à dos.; quelques voitures arrivent timidement . Les vacances d"été sont presque là. l es estivants randonneurs pointent leurs nez. Derriere  nous un torrent coule avec force. La neige n’a pas encore fini de fondre sur les hauteurs .Tout près de là, si vous passez sur le petit pont de pierre, vous pourrez voir des tables et des bancs en ciment qui vous attendent pour un reposant "pique-nique". Coll de la mina. Ransol, Andorre
    le bàton en main , nous voilà fin prêt pour l’ascension.
    Le petit sentier qui nous conduit au coll est agréable. Il monte, mais pas trop. Il suit le torrent qui gronde grace à ses nombreuses cascades. Le long du petit chemin , partout des fleurs. Il y en a partout de tout es les couleurs , de toutes sortes. Les rhododendrons commencent à fleurir et donnent une joli note de couleur. La rando est paisible , c’est un bien joli paysage.
    Un peu plus haut, elle devient un peu rocailleuse et ferrugineuse. Les fleurs et plantes se font peu à peu plus rares. Partout çà et là , on peut rencontrer des petits lacs. J’en ai vu de plus beaux, mais je suis toujours contente  d’en rencontrer. C’est fascinant de voir, au détour d’une petite bossse o u dans un petit creux,  ces lacquets.
     
     Enfin, nous arrivons au lac principal et nous  nous posons un peu . Le soleil est là, mais il y a un petit vent très frais. Lionel décide de se reposer. Je décide de continuer un peu plus . Là  çà commence à monter vraiment et la roche est de plus en plus friable. Les pas se font de plus en plus petits car il y a rique de glissade: heureusement , j’ai deux bâtons de marche. J’arrive difficilement à grimper jusqu’au bout. D’un côté se trouve la vallée de Sorteny et de l’autre celle que l’on vient de grimper.
    C’est sublime!! Je peux voir tout les lacquets que nous avons rencontrés et le paysage est grandiose. Mais , il faut rentrer. Je rejoinds Lionel et prenons notre en cas de midi.. Tranquillement, nous prenons le chemin du retour, il le faut bien, hélas! Les nuages commencent à devenir de plus en plus nombreux, mais il ne pleuvra pas. Coll de la mina. Ransol, Andorre
     
    Encore une rando de plus  que j’ai fais dans Mes Montagnes. Je suis toujours aussi ravie. Dômmage, nous n’avons pas rencontré de marmottes, nous les avons juste entendues siffler. A 16h nous somms rentrés.

     


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  • Est-ce un rêve?
    Je vais me réveiller sûrement!
     Mais non, je ne rêve pas! Prince est là qui me lèche les pieds.
    Je pense seulement………. Mais où suis-je?
    Je suis là, sur un rocher, assise au milieu de la montagne, Ma Montagne….Ma Montagne? oui, Ma Montagne, dans Mon Pays d’adoption.Pays que j’aime pardessus tout: il est si beau!
    Je regarde autour de moi, partout des montagnes. Il est tard, le soleil se couche à l’horizon, sur La Massana. Au dessus des montagnes, une auréole orangée châpeaute le paysage comme sur une carte postale. Peu à peu , il s’en va et laisse place à une couleur orange en dégradée qui va disparaître aussi pour faire place à la nuit.
     
    J’entends , au loin, les voitures et , ici, tout  près, les oiseaux qui gasouillent et s’agittent après la chaleur du jour . J’entends aussi, et , oh, quelle joie, les marmottes qui sifflent. Il y en a partout, et, du matin au soir, même de mon appartement , je peux les entendre.
    Un vent lèger souffle qui ondoie les herbes folles . Tout autour de moi, je peux voir et sentir les sapins symbôles  de la montagne.
    Comment fait-il pour vivre celui-là , dans trois cm de terre , sur un rocher?
    IL  est là, tortu,  accroché par ses racines qui ressemblent à des serres d’aigles, sur ce caillou, fier de son exploit. Le vent peux souffler, il tiendra bon  .Je   peux sentir l’odeur du buis qui me rappelle mes premières années à Encamp, au printemps,  quand on montait au lac d’Engolaster.
    ……..J’écoute…….Tout est si calme et bruyant à la fois!
    Mais où suis-je?
    J’aperçois l’étoile du berger, les autres ne vont pas tarder. La nuit tombe doucement. Prince me regarde et me dit: " on rentre pas?", "non", on rentre pas, on reste, c’est si beau, c’est magique." Je n’arrive pas à détacher mon regard, tout me plait. Et tout les jours en allant travailler, je regarde et je vois pour la première fois ce paysage, parfois plein de neige , parfois tout vert. Tout les jours, je regarde comme si je n’avais jamais vu.  Tout les jours ,je suis toujours aussi émerveillée. . Toujours et tout les jours est plus belle Ma Montagne. La nuit est tombée maintenant. Les étoiles scintillent comme pour me faire un clin d’oeil joyeux et complice. Elles savent , elles ,que je suis heureuse, assise, là, sur ce rocher, à penser…..
    Montagnes Andorranes je vous aime.
     
    Mais où suis-je?
     
     

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  • Cet été, j’ai eu le plaisir de recevoir une petite partie de ma famille. En effet, Bastien, Valérie, Lucie et Louis sont venus passer quelques jours en Andorre. Je travaille de 5h/2à 10h du mat. J’avais donc du temps à leur consacrer. Le premier jour, ils sont partis faire des courses et se promener tout seul. ils en ont profité pour acheter un chaise spéciale pour porter Louis sur le dos. J’ai cherché une rando facile et j’ai trouvé le val de Sorteny. C’est un parc naturel cree le 15 juin 1999 par ordre communal.Il offre un intérêt scientiphique, botanique,éducatif et offre surtout un joli paysage. Il sert á la preservation de la biodiversité, nous pouvons y rencontrer plus de 700  espèces de plantes et une faune variée, sur une superficie de 1080ha. Sur notre parcours, nous avons visité le jardin botanique. Je l ‘ai trouvé très bien  .                      

     Nous sommes partis  l’après midi  . La vallée se situe entre El Serrat et Arcalis, pas très loin de chez moi.  Bien sûr , il y a beaucoup de monde ainsi qu’un bus espagnol. Quand nous sortons de la voiture, un vent glacial nous surprend. Valérie et les enfants mettent un gilet. Nous passons la petite porte en bois et nous voilà partis pour la grande aventure. Bastien doit faire quelques réglages pour installer au mieux la chaise et Louis. Enfin, nous reprenons le chemin. Il y a deux possibilités: choisir le sentier ou le sentier empierré qui sert aux voitures tout terrain  pour le personel autorisé. Nous obtons pour ce dernier pour faute de temps et aussi pour la facilité.

    De temps en temps ,nous rentrons sur une partie du sentier pour faire des photos et voir le paysage. Lucie a l’air de se plaire et n’est  pas fatiguée dit-elle. Le chemin est entre coupé par le sentier, ou le contraire, grâce aux virages et ainsi nous pouvons profiter de cette beauté. Partout des fleurs et des papillons. Il y en a que j'ai jamais vu et Valérie se met à la chasse aux papillons pour faire des photos. Notre bouchon a faim et nous faisons une halte. J'en profite pour explorer un peu plus les environs et je fais quelques photos. Enfin, nous arrivons au refuge. Nous faisons une grande pose. Je visite le refuge qui est occupé par de nombreux randonneurs qui ont dormis ici.  On peut , à partir du refuge, faire plusieurs randos balisées. Il y a une fontaine avec de leau bien fraîche qui est la bienvenue. Il est temps de rebrousser chemin et en descendant, de temps en temps, nous empruntons le sentier qui est facile d’accés et bien aménagé. Les escaliers sont bien faits, encailloux et rondins de bois. Il y a par endroit des rembardes de bois. Et nous faisons les dernières photos.

    C’était une promenade bien agréable et j’etais très contente que Lucie aime la ballade. voici quelques photos.  


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  • estany Esbalçat

                    Il est 9h30, je rentre du travail. Il fait beau et je décide de partir en ballade.Je prépare mon sac à dos avec, eau , nourriture , une petite bouteille pour prince qui frétille déjà d’impatience (il connait le sac). Je n’oublie pas le k.way, la casquette, le bâton, l’appareil photo (indispensable) et le"mobile" en cas d’urgence. Prince saute dans la voiture et nous nous dirigeons vres Arcalis ,direction el Serrat au lieu dit : el pont del Castillar. il y a de la place pour se garer et de nombreuses voitures sont déjà là, Belgique, Espagne, France et Andorre. Je me sents bien dans cet endroit où seuls les bruits des cloches tintinambullent dans le silence. J’en ai compté 120, mais il y en a bien plus éparpillées dans  la  montagne  ………   . 
     Je lis le panneau d’information et je décide de prendre le plus petit parcourt car il est tard. J’entends l’eau du torrent qui  dévale bruyamment la montagne. C’est la fin de la fonte des neiges. Il court vite pour aller je ne sais où, mais il y va joyeusement. Partout des plantes grasses fleuries et des tas de petites fleurs blanches minuscules. Peu à peu les arbres deviennent de plus en plus nombreux. Il y fait bon.
    Tout en montant tranquillement que vais-je  au milieu du chemin? un cêpe!:Je pose mon sac et je cherche un peu., J ‘en trouve un second, un troisième, six en tout, quelques uns , bien vieux. Je reprends mon ascension tout en jetant un œil sur le côté, au cas où. Enfin, voilà le premier "ciel".Au total j’ai du en passer une dizaine. On croit toujours arriver, mais non , c’est une fausse alerte et nous voilà repartis pour un autre "ciel"  A chaque fois je fais une photo; Mais rien ne peut décrire si bien ce que je vois , seuls mes yeux et mon cerveau enregistrent bien les images, mémoriser cette immense beauté…  . . ..
    Je m ‘assoie et regarde autour de moi. Que de temps perdus….J’ái commencé à faire des randonnées trop tard. …….J’arrive à l’embranchement d’autres randonnées, biens trop longues pour moi, aujourd'hui.  Je prends donc celle qui va au lac. Je suis sur une petite plaine où se rencontrent pleins de petits ruisseaux, Il y en a un qui sort de la terre. Le chemin est très caillouteux, genre éboulis,
    mais peu à peu c’est un sentier de terre de bruyère où il fait bon marcher.  
    Enfin le dernier "ciel "pour moi. Il y en a d’   autres pour aller jusqu'au col d’Esbasçat qui rejoint l'Ariège .Je commence à avoir faim. Tout à coup, loin et très haut, j’aperçois un oiseau  . Le voilà qui plonge droit au sol comme une pierre, il remonte et fait du surplace. Je ne sais pas si c’est un aigle ou un milan en tout cas il est gros. Les arbres ont laissés la place aux prés avec de nouvelles fleurs et le chant des oiseaux m accompagne. J’approche du lac.  Un peu en contre bas, le lac! 2500m d ‘altitude, avec un peu de neige sur le côté.
    Cette année ,il est resté plus de neige que d’habitude. Je me déchausse (enfin)!, me mets en maillot de bain et les seins à l’air je  trempe mes pieds dans l’eau. J’avais très chaud. J e casse la croûte sans oublier Prince. Il a soif et boit à la bouteille que je lui réserve.  Il est 14h30…………15h15, il est temps de repartir. Je continue le sentier balisé qui conduit en bas, sans passer au même endroit ; en fait je fais un tour. IL y a plein de marécages, mais le sentier est beaucoup plus facile   que de faire un retour par  celui dont je suis arrivé  , mais beaucoup plus long. De plus il est mal balisé, mais Prince m’indique  la marche à suivre comme s’íl connaissait l’endroit. Il doit renifler l’odeur des randonneurs qui sont passés par là, je me serais bien , peut -être bien égarée. Il est 17h30 quand je monte dans la voiture : Ouf, je suis bien fatiguée, mais je dois aller prendre une douche  rapide, car je dois me trouver à 19h à Encamp pour rejoindre mon ami:
    C’était, une fois de plus une jolie balade. Certes je suis lasse quand je rentre  , mais je suis toujours partante pour une autre rando la prochaine fois……..voici quelques photos. je ne maîtrise pas bien encore la marche à suivre, mais je vais essayer.
     
      

     


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  •           Il est 7 heures du matin. Je suis dans la voiture et me dirige vers les Pessons, pour voir mes amis les marmottes. 8h moins dix, je suis sur le parking où stationnent déjà quelques camping cars et voitures. Je prends mon sac à dos et mon bâton et me voilà sur la piste de ski pour env 3/4 d’h. Sur l’ultime chemin, je marche sur l’herbe et évite de faire du bruit.

    Elles sont là, qui mangent de l´herbe. Je pose sac et bâtons, sort mon appareil photo et mon sodoku. Timidement je m’avance le plus près possible et je m’assois. Je fais quelques grilles pour qu’elles prennent confiance et tente quelques photos. Je voudrais bien en faire avec les marmottons, mais,  le seul que je vois, ne sort pas de son trou durant les 2 heures que je le  guette. Tant pis ce sera pour une autre fois. Je reprends mon sac et me dirige directement au second lac, en passant par un raccourci qui évite le premier. C’est toujours aussi beau et je décide de faire tous les lacs car je ne les connais pas. Ensuite il y a le col à faire et l’on peut continuer davantage si l’on veut, car, ce circuit est le GR7. J’arrête au dernier lac qui est double. Il est 14h. Je pose mon bardas, quitte chaussures et chaussettes, et mets les pieds dans l’eau. Je casse la croûte avec  plaisir. 

    Cette journée est la plus chaude du mois, et même les jeunes  gens nagent dans le lac. Je me pose 1 h et repars pour la descente. Ce fut une belle journée, un peu épuisante pour mes rotules, mais, la joie d’avoir fait cette rando, le vaut bien.

                          

     


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  • Nous sommes fin juillet et c’est avec une joie immense que je reçois mon petit monde. Après  un bon repas et une nuit de sommeil un peu courte, vers 10h du matin, nous partons faire une randonnée au lac d’Esbalçat. Ce chemin je le connais bien, car la première partie j’y recherche des champignons. De plus , j’ai déjà fait ce circuit l’année dernière à la fin juin.

    Lucie aime bien marcher dans la montagne et va bon train. Le papa avec  mon petit fils sur le dos a aussi une bonne cadence. Valérie, ma fille, reste un peu en retrait, entre eux et moi. Elle s’inquiète souvent dema santé et m’attend un peu. Seule je mets 4h pour monter , avec eux , j’ai mis 3h .C’est une cadence un peu trop pour moi, mais j’ai fait des efforts, car sans moi, en moins de 2 heures ils seraient parvenus au lac.

    Les efforts sont toujours récompensés quand on découvre le paysage. Je suis tout le temps émerveillée par la beauté de la nature. Nous quittons les chaussures et chaussettes pour se rafraîchir  les pieds.  Loulou a faim et nous nous installons pour manger. Au fond, de l’autre côté des jeunes font un bruit d’enfer et plonge nt dans le lac pourtant bien froid.

    Nous reprenons la balade en suivant un chemin  qui nous permet de faire un tour complet. La descente est dure et je suis assez fatiguée. Valérie et moi décidons d’écourter le chemin en traversant le torrent sur des rochers et mon gendre continue sa route jusqu’à la voiture. Nous l’attendons après le tunnel d’Arcalis et entrons fatigués mais contents .                 

     


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  • Bonjour. Je m’appelle Minou. Je suis un chat blanc castré, un peu costaud . J’habite en andorre , chez Marmota.

    Je suis entré dans la vie de Marmota, trois semaines après la mort du gentil fripon tout noir. En effet, depuis sa mort, le chien de la maison, Prince, ne mangeait plus, sauf,  si ma maîtresse lui présentait la nourriture à la bouche, comme  à un bébé humain. Un jour qu’elle rendait visite à une amie restauratrice à Os de Civis, elle m’a rencontré.

     

    Alors, mon ex-maîtresse m’a cédébordes de l'ensegur, départ 1450m à Marmota pour redonner goût à la vie à son cher Prince.

    La rencontre s’est bien passée. Prince est un chien calme et très gentil. Mais , je ne suis pas du genre câlin avec les chiens et, dormir entre ses pattes, je n’ai pas aimé. Donc, nous sommes amis , mais pas plus. Prince allait mieux, mais pas bien. Alors, un jour , elle est allée , avec son ami,  derrière l’hôpital, où , il y a des chats abandonnés et ils ont attrapé, un nouveau Fripon gris tigré, chat de gouttière ,qui a été adopté par Prince. Prince avait déjà élevé le chat Fripon, tout noir, comme son bébé. Depuis ce jour là, Prince va mieux et joue avec Fripon qui grandit gentiment.

    Alors, moi, j’ai pris mon indépendance. Je me promène dans Arans, comme un seigneur. Des gens de divers pays, me prennent en photo, car, il parait que je suis beau. Je traverse souvent la grande route, mais je fais attention. De temps en temps, je suis ma maitresse et prince , faire une balade ou chercher les escargots.

    Ce matin, je savais que ma maîtresse partait en rando, car, hier elle avait préparé son sac à dos et ses bâtons. J’ai bien vu qu’elle regardait de tout les côtés pour voir si j’etais par là, car, si elle me voit , elle m’attrappe, me fait un bisou et m’enferme dans la maison !

    Alors, je me suis caché. Quand elle   traverse le pont, je sors de ma cachette , traverse la route, le pont et me voilà derriere elle et ses deux chiens ( prince et Xulla ( chienne de son ami ) ). quand elle m’a vu, elle s’est arrétée et a réfléchi. Mais elle n’a pas eu envie de faire marche arrière pour me ramener à la maison.

    Les chiens sont fous, ils courent partout. Ils sont devant, derrière, vont voir ma maîtresse, se bagarrent : ils ne se fatiguent pas.  C’est la première randonnée de l’année de ma maîtresse et la grande première pour moi. J’avance tranquillement, mais je vais aussi vite que Marmota. Elle marche lentement , à l’aide de ses deux bâtons.

    Je la vois qui observe les bords du sentier. Elle cherche  des morilles, mais , rien !!

    coup. Les sapins deviennent plus épais. Quelques randonneurs nous doublent avec leur chien, mais je sors du sentier et me cache. Quand le danger est écarté, je ressors. Parfois  Marmota, m’appelle. Enfin , sur le bord du chemin, une morille la boule noire au fond, une gyromitre! Elle pose son sac , et fais le tour, du côté haut et du côté bas, mais rien. Nous repartons. Une autre morille !, donc ça recommence.  Je pense qu’à cette vitesse , on est pas encore arrivé. Elle espère trouver des mousserons, en haut sur les alpages. On traverse un premier grand prés, mais elle se dirige vers les cabanes de bergers. Un grand bois de sapins humides, nous y conduit.  Là, elle ralenti et s’arrête. Des yeux , elle cherche et

    trouve des gyromitres, beaucoup. De nouveau, elle  fouine et tournicote . Moi, je dors un peu. Nous poursuivons la balade vers la grande prairie, là où elle a ses habitudes. Les vaches grises nous accueillent au bruit de leur cloche, nous regardent et continuent de manger. Elle se débarrasse du sac et d’un  bâton, il est 10h30. Elle monte un peu vers les sapins et elle trouve des morilles noires. Un autre monsieur, plus bas , fait la même chose, je pense, car il a une poche en plastique à la main lui aussi.

    on a mangé, je dors

    Enfin, elle s’assoit sur une pierre bien plate, un peu en hauteur et ouvre son sac. On va manger ! Elle ouvre difficilement une boite de sardines. L’attache s’est cassée ! heureusement qu’elle a son Opinel, elle continue avec le couteau pour terminer. Elle trempe un peu de pain dans l’huile, pour nous. Je le mange, mais je n’aime pas le pain. Alors, elle divise en trois une sardine et nous l’offre. Humm , ça j’aime. J’ai le droit de lècher l’huile qui reste. On est tous fatigués et nous nous reposons un peu. Maman se lève, c’est le départ pour le retour. Je suis encore  bien las. Je la laisse partir , mais elle m’appelle . A peine rentrés dans le bois, là voilà qui se baisse pour ramasser deux belles morilles. Donc en faisant le chemin inverse, nous trouvons d’autres morilles et gyromitres, faute de mousserons, ( il y reviendra dans 15 jours pour voir ). Il est temps de repartir. La descente est lente, car elle a mal à ses rotules . Il est 13h30 et il fait très chaud. Je m’arrette souvent pour m’allonger dans l’herbe fraiche. Enfin , nous trouvons un joli coin et tout le monde peut se coucher. Marmota en profite pour téléphoner et nous repartons. Nous avons mis , plus de temps pour descendre que pour monter. Ma maîtresse a mal aux jambes. Moi, je n’en peux plus. Tout le long du chemin, je me suis allongé, vu que j’allais plus vite que ma maîtresse.

    Marmota a souvent dérapé à cause des petits cailloux, sur le chemin du retour, mais elle n ‘est pas tombée.  il est 16h et nous sommes enfin de retour. Je m ‘étale de tout mon long, à côté de la fontaine tandis que ma maîtresse rentre au frais. Je les rejoints pour grignoter quelques croquettes , pendant que marmota se douche. Il lui reste à nettoyer les champignons.

    Je suis bien content de la balade.  J’en ai bien profité. Je trouve que,  faire tout ce chemin pour quelques champignons, c’est un peu ridicule. Mais ma maîtresse aime ça, monter tout en haut et descendre. Elle m’a fait écouter les chants des oiseaux, mais j’aime mieux les attraper. Je la suivrai encore si je peux et si elle le veut bien.

    Merci de m’avoir lu. Je vous serre la patte à tous, mais en retour j’aimerai bien une caresse et vous aurez droit à mes <> très forts.. ..chutt…..je dors déjà.

      


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